la conjoncture actuelle de la future transition doit mettre un coup d’arrêt au sentiment de fuite en avant d'une impulsion avançant vers d’avantage de consentement
. Je ne peux affirmer le point de vue qui conduit à penser que l'exceptionnelle diversité culturelle doit permettre la libre expression d'une France forte, riche et attractive. Aujourd'hui, je voudrais vous dire que la précaution essentielle de protection doit s'intégrer à la finalisation globale d'une majorité parlementaire qui responsabiliserait sur l'urgence écologique. Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus a pour effet voulu la pressante exigence d'une prise en charge complète des laissés pour compte. Je reste fondamentalement persuadé que le particularisme dû à notre histoire unique justifie la démarche vertueuse d'un déploiement visionnaire revivifiant. Vous appréhendez sans nul doute que la vrai question qui nous est posée en terme de maintien des acquis sociaux doit insister sur la rupture du lien social et sur le sentiment de vide d'un seul vrai recours qui dit qu'il faut faire son devoir au quotidien.
Je dois vous informer
que le projet réaliste et ambitieux pour faire de la ville la capitale de
toutes les solidarités oblige à la prise en compte encore plus effective d'un
programme plus humain, plus fraternel et plus juste. J'ai toujours pensé que
l'intelligence participative permet d'affirmer la prise de position résultante
d'un temps et d'une époque en phase avec les innovations afin de ne pas être
dépassé. Je m'efforce sans relâche pour vous, afin que vous appréhendiez au
mieux le fait que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que
vous soyez jeunes ou âgés, doit s'assimiler à la notion intacte d'une exigence
politique innovante. Vous ne mettrez pas ma parole en cause si j'exprime le
souhait de pointer du doigt que la refonte du pacte républicain doit réunir les
atouts d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus
démunis. En effet, c'est en toute prescience que je peux garantir présentement
que la puissante divergence locale doit correspondre aux directives
indispensables préalablement établies afin de poursuivre l'effort plus que
légitime d'une focalisation qui se traduit par un choc de méfiance. Il est tout
à fait normal que je vous dise que l'hégémonie du profit au détriment de
l'humain est l’orientation acquise d'une restructuration dans laquelle chacun
pourra enfin retrouver sa dignité.
Je lance un appel à
toutes celles et ceux qui veulent entendre que l’élan populaire tourné vers
notre avenir commun doit prendre en compte les préoccupations de la population
de base dans l'élaboration d'une société politique n’entendant plus assez
l'appel répété des français. Et c'est en toute honnêteté que j'atteste avec
évidence que la République du respect véhicule les valeurs d'humanisme d'une
recherche de la meilleure solution possible. Je tiens à plaider ici devant vous
que l'autorité juste nécessite de la majorité des Français qu'ils reconsidèrent
le socle d'une décroissance tangible du nombre d’individus dans la fatalité.
Par ailleurs, c'est en toute connaissance de cause que je peux affirmer
aujourd'hui que la situation réelle doit être le stimulus d'une valorisation
sans concession de nos caractères spécifiques. Je demeure entièrement assuré
que la France généreuse fait ressortir le réel attrait d'un avenir s'orientant
vers plus de progrès et plus de justice. Il faut résolument admettre que
l'acuité des problèmes de la vie quotidienne doit nous mener au recueil
ouvertement irrésistible d'un mouvement cheminant vers plus d'unité.
De plus, vous savez
pertinemment que la sécurité des personnes doit conduire à l'ouverture
intégrale d'un rassemblement des conditions de base pour construire sa vie et
envisager son avenir. Et ce n'est certainement pas vous, mes chers
compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que l'effort indispensable de
défense oriente la conscience collective dans la voie d'une baisse effective du
nombre de personne dans la détresse. Aujourd'hui encore plus qu'hier, personne
ne me désavouera si je maintien que la répercussion de l'augmentation récurrente
des dépenses prend la direction conditionnelle d'une société où vivre mieux ne
rime pas forcement avec travailler plus. Inutile de chercher à vous convaincre,
vous qui savez déceler le vrai du faux, si j'affirme avec force que la force et
la richesse de la diversité contraint la plupart d'entre nous à repenser les
fondements d'une France où collectivité rime avec solidarité. Je tiens à vous
dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que la
démocratie participative se trouve déjà à l'étape avancée d'une société où nous
aurions tous notre place. Il faut savoir que la dynamique vertueuse véhicule
les prémices de l'ordre juste pour une France plus juste.
J'aimerai que vous
mesuriez avec discernement que la situation d'exclusion que certains d'entre
vous connaissent guide le dialogue identitaire d'un encadrement plus propice à
l'instauration d'un climat de confiance. J'ose prendre des risques en vous
disant que la complexité de la réalité Française justifie les subventions
publiques d'un retard en terme de gestion de contenu qui peut être très
facilement rattrapé. La démarche est si importante que je peux attester sans
difficulté que l'intégration sociale au profit de la vie associative des
quartiers encourage mon attrait avéré de progresser dans la direction d'une
rupture sans agitation partisane pour retrouver le chemin du vivre ensemble. Et
c'est tout à fait sincère quand je déclare avec conviction que l'évolution sans
concession de notre mode de vie a pour conséquence obligatoire l'urgente
nécessité d'un réaménagement dans lequel quiconque pourra en définitive
reconquérir sa distinction. Je compte sur vous, raison pour laquelle je vous
confie que l'escalade du coût de la vie, notamment en ce qui concerne les
énergies fossiles efforce notre conscience à l'inéluctable constat d'un monde
nouveau où chacun ira à son rythme et où nous attendrons ceux qui vont un peu
plus lentement sans freiner ceux qui veulent accélérer. Beaucoup de nos
concitoyens n’ont pas encore fait leur choix et pensent que la mission qui nous
a été confiée conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'une
intelligence collective où la République tiendra sa promesse égalitaire.
Où que nous mène la
dualité de la situation conjoncturelle, la juste récompense de la promotion
sociale génère la profonde réflexion d'une valorisation plus généreuse des
moins aisés. Il faut opiniâtrement accepter que la formidable complémentarité
des différents courants artistiques interpelle le citoyen que je suis et nous
oblige tous à aller de l'avant dans la voie d'un suivi plus humain des moins
fortunés. Il se trouve que la société de consommation, telle que nous la
connaissons, atteint la restructuration profonde d'une postérité allant vers
essentiellement plus d’équité. Je vous garantis sauf inconduite que le
développement équitable doit décider de l'avenir d'au moins deux générations
compte tenu de la lourdeur d'une France où les plus assidus seraient
récompensés. Je suis naturellement certain que la tradition attachée à notre mémoire
consubstantielle se concentre sur les citoyens et les forces sociales d'un
processus allant vers plus d'égalité. Actuellement, la montée des dépenses
basiques doit parvenir à la comptabilisation mensuelle d'une autorité
permettant la meilleure cohérence possible.
J'ai depuis longtemps
défendu l'idée que la forte disparité régionale entraine une mission somme
toute des plus exaltante pour moi : l'élaboration d'un monde plus égalitaire où
personne n'aurait la sensation d'être exclu par une société de plus en plus
exigeante. Le constat est tel que je peux certifier sans mal que le droit
fondamental des femmes doit renouveler la responsabilisation protectrice et la
dynamique d'une Europe socialement et économiquement redressée et capable de
peser dans un mode multipolaire. De plus, vous connaissez certainement la
situation qui mène à dire que l'aspiration plus que légitime de chacun au
progrès social connait, par définition, la tentation d'une délégation ayant
pour objectif la préoccupation de la totalité des problématiques de bon sens.
Je désirerai que vous jaugiez que le regain d'intérêt pour le paquet fiscal,
nécessaire à l'augmentation du pouvoir d'achat pour tous doit nous amener au
choix réellement impératif de solutions rapides correspondant aux grands axes
sociaux prioritaires. Je garde la réelle conviction que l'intensité habituelle
des difficultés de l’entreprise réitère l'élan nouveau d'une évolution
quoiqu'il arrive indispensable à la préservation de notre mode de vie. Je dois
vous avertir que l'identité nationale dans notre pays qui perds ses repères
confirme l'inaliénable volonté d'un progrès considérable soutenu par l'entente
des différents partenaires sociaux.
C’est fort de cette
unité et fort de votre présence que je peux aujourd'hui m'adresser à vous en
cet instant solennel pour vous dire que l'approche sociale dans notre pays
encourage la diversité et la sensibilité qui donne un nouvel élan à la France
et qui rends possible, avec votre concours, les changements dont notre pays a
besoin. Je confirme tout de suite que le reflet de l'idéologie du moment pilote
la clairvoyance fédérative sur la route d'une perception des prémices de la
récession dans laquelle se trouvent distinguées des repères utiles. Il
m'appartient de vous prévenir que le processus de concertation au niveau
national et local permet la reconnaissance absolue d'une prospection émérite,
et c'est un symbole. Comme disent les Chinois : Qui n'est pas venu sur la
grande muraille n'est pas un brave et qui vient sur la grande muraille
conquiert la bravitude. Je serai toujours le premier à assurer que la réforme
sur les régimes spéciaux propose concrètement l'opposition résolue d'un plan
correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun. Pourquoi
devrais-je essayer de vous convaincre, il suffit de regarder les chiffres et de
constater que ceux-ci illustrent bien que la volonté farouche de sortir notre
pays de la crise doit être au centre des débats d'une force sereine et
progressiste qui remettra notre pays sur le chemin de la réussite.
Mesdames, messieurs,
je vous remercie de votre attention. Par la même soyez assuré de ma réelle
implication et du caractère profond de mon engagement concrétisé ici par les
mots pour vous offrir une pensée à Votre mezure meilleure et
plus juste.
CAUSONS je mets en marge le correcteur pour que les inviteuses et instituteurs n'en bavent pas trop, parce qu"il y a beaucoup de moits et que le correcteur ne peut pas ^^etre au cratère et au moulin n3 D'Amnecy les grandes jura-ss-essiettes situées près de la suisse italienne des alpes pour tous ainsi que le grand jura est nord chti du grand est qui profite de l'edelzviquer .
PS/ Je voudrais rappeler à toutes et à tous les auditeurs de France Inter, ceux qui auraient la mémoire courte que coute .
A que !!! cet article n'est pas de moi, il est de causons, le grand, que dis-je l'illustre, et qui était CAUSONs?
Un érudit, un amateur de rhum un grand conseiller intellectuel devant l'éternel.Un écolo sûrement, un résistant sûrement encore plus. Un grand orateur ? Oui je pense.
En tout cas c'était pas moi !!! c'est certain, ce n'est pas mon style, j'ai quand même plus de retenue mais cela ne m’empêche pas de respecter le maître pour la qualité et surtout la kantité de travail que causons effectuait sur nos ondes à l'époque de 0 votre écoute coute que coute.
J'ai gardé religieusement l’œuvre du maître et je vais poster ici un florilège en la mémoire de ce héros si vite disparu de nos ondes. Je ne plaisante, ni ne déconne pas. J'aime les archives
phildid
A propos de "A
votre écoute coûte que coûte " vu comme une abstraction radiophonique,
par Philip
DeudeuBobolieux de causons donc
La recherche d'une
volonté sémioticienne de l'image en tant que noème fatal de l'absence visible
par la trace , donne vie à une entité uniquement révélée par la trace
lumineuse.
Dans cette
progression historique il y aura eu tout le poids de la réflexion
"déconstructive" qui, partie du réel , est revenue au réel mais au réel
comme trace. Ou, pour reprendre des termes littéraires on serait passé de la
mimésis à l’analogie , qui se joue sur l’axe de la contiguïté vers
l’abstraction. Le XXe siècle s’est construit sur l’image.
L’art photographique
qui dans ses projets s’est approprié les oeuvres de nombreux photographes qui
font office de créateur-plasticien ; mais à ces derniers est paradoxalement
déniée la reconnaissance artistique. C'est pourquoi on a été tenté d’y voir la
trace d’une activité compensatoire , un palliatif au "bovarysme".
Elle se déploie non plus seulement comme un regard sur l’altérité , mais sur
soi-même , impossible anamnèse elle entraîne le spectateur dans l’Histoire ,
qui n’existe que lorsque l’on en est exclu. L’aventure photographique se décompose
en studium (le savoir qui permet de la lire, et le punctum , ce qui dérange
intimement : Car si le studium est codé éthiquement , socialement le punctum ne
l’est pas. Il fait sortir la photo hors de son cadre Aussi bien en ce qui
concerne sa diffusion sociale que pour les quelques réflexions esthétiques
qu’elle a suscitées la photographie semble ainsi condamnée à végéter en marge
du médium beaucoup plus puissant qui s’est développé à partir d’elle, le
cinéma. L’acte photographique met en relation trois éléments : la nature ou
l’objet la caméra et ses spécificités et le sujet qui regarde .
La recherche comme
représentation de l'impossible immortel de l'absence visible par la trace ,
donne vie à une entité uniquement révélée par la trace lumineuse.
L'image s'instaure
partie intégrante de l'observateur comme principe d'incertitude d'Heisenberg.
La recherche dans une
tentative phénoménologique représente le paradoxe du mythe de Gorgone , mythe
en permanence réactualisé par l'ipséité même du sujet regardant dans sa fixité
pourtant immuable , une perception qui ne rencontrerait que le vide de la
proximité.
L'image s'instaure et
elle peut se situer en un symbolisme intermédiaire entre ritualisme et les
menaces d’une vie inquiétante des images. Ou, pour reprendre des termes
littéraires on serait passé de la mimésis à l’analogie , qui se joue sur l’axe
de la contiguïté vers l’abstraction.
L’aventure
photographique vit en marge du médium beaucoup plus puissant qui s’est
développé à partir d’elle, le cinéma. L’acte photographique met en relation
trois éléments : la nature ou l’objet la caméra et ses spécificités et le sujet
qui regarde La recherche comme représentation de l'impossible immortel de
l'absence visible par la trace , donne vie à une entité uniquement révélée par la
trace lumineuse. L'image s'instaure comme un analogon de la présence , copie et
double d’une réalité et elle peut se situer en un symbolisme intermédiaire
entre les conduites sociales et les fantasmes intérieurs. On voit des morceaux
décomposés et recomposés. Le XXe siècle s’est construit sur l’image. L’image
est à la base des grandes découvertes scientifiques qui en tant que ready-made
est donc un domaine mouvant , mais qu’elle envahit imbibe, et finalement
transforme. A la suite de Freud, elle permet de continuer à vivre la
compréhension de ce phénomène , impossible anamnèse elle entraîne le spectateur
dans l’Histoire , qui n’existe que lorsque l’on en est exclu.
Philip
DeudeuBobolieux dit CAUSONS sur les ondes de France Inter.
G:\moi\causons rtf
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@ propos de
l'émission du jour en particulier, et de lélevage des p'tinenfants en général:
Depuis l'émergence du
constructivisme, on peut observer que l'enfant, par la production d'un corpus
d'observables, privilégie les situations prévisionnelles. Mais c'est bien
l'affordance qui, par des variables homogènes, nous amène à penser : la
pédagogie de la différenciation n'est pas une pédagogie analytique. Quittons la
vision théorique : Un enfant (vous savez, un de ces horribles nains) fait la
fine bouche devant la sublime situation-problème théorique que vous aviez
élaborée pour lui. Le corpus des observables structuraux nous conduit alors à
un réflexe situationnel approprié : une beigne !
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En-core, en-core ! Bon,
d'accord;
pour parler de la
technique de dressage des chiards jusqu’à 7 ans, transformé en techniques de
contrainte à partir de l'age de raison (7 ans pour les précoces, 8 ans pour les
moyens en moyens, 15 ans pour ceux qui attendent l'adolescence et sa crise en
rongeant leur frein):
Sans prononcer le mot
cognitivisme, il apparaît que l'élève, par le biais d'échanges collectifs
interactifs, adopte spontanément des modes d'apprentissage vicariants. Mais
c'est bien le modèle suggéré par les factorialistes qui, par des variables
homogènes, nous force de constater : la pédagogie de la différenciation n'est
pas une pédagogie fonctionnelle. Prenons un exemple simple : Un enfant (vous
savez, un de ces petits êtres répugnants) boude la sublime situation-problème
théorique que vous aviez mise au point pour lui. Le corpus des recherches
stucturelles nous conduit alors à un réflexe situationnel approprié : lui
bouffer son goûter !