Enfin j’entends ton souffle dans le lointain, j’étais si
seul, ta venue prochaine ravit mon cœur.
De ma plume céleste je t’écris ce moment que j’attendais depuis si longtemps, nous le célèbrerons comme il se doit.
De ma plume céleste je t’écris ce moment que j’attendais depuis si longtemps, nous le célèbrerons comme il se doit.
Ton ombre sur le chemin se balance au son des cordes, elle
bouge au rythme des violons du temps fleuri.
A la fenêtre, je guette ta venue, soit bénie, car ce que je
ressens, je ne puis l’exprimer qu’en musique, une musique orientale un peu
exotique.
Dans Le ciel, le vent
polaire a chassé les nuages qui cachaient mon soleil.
phildid
phildid