Cette musique me rappelle à toi douce ingénue, qui peuplait
l’onde de mes nuits insomniaques, c’est ta voix loin là-bas au dessus de la
ville.
Désormais je sais que chaque jour où tu reposes, cette douce
musique peuple encore tes nuits. Mâcha, toi la fée qui a su rendre le monde un
instant supportable, arrêter le temps pour parler avec les anges, à ceux qui
ont senti un moment le besoin de s’adresser à toi par-delà les ondes. et phildid