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mardi 18 avril 2017

Je voudrais...



J'aimerais, je voudrais bien écrire, si j'en trouve l'envie, la force, si une nymphe veut bien m'aiguillonner, une petite étude sur les bois et les forêts en m'aidant pour cela de plusieurs contes tels que:

La myrte qui domine la forêt ensorcelée ou s'épanouirent les hamadryades.


L’hamadryade est une race voisine des dryades. Elles ont la particularité de ne vivre que dans des chênes qu’elles ne quittent jamais. Si leur arbre meurt, elles recherchent un nouveau chêne pour les accueillir.
Du mot grec drus, « chêne », vient le nom de Dryades. C'étaient les nymphes protectrices des forêts et des bois. Robustes autant que fraîches et légères, elles pouvaient errer en liberté, former des chœurs de danse autour des chênes qui leur étaient consacrés et survivre aux arbres placés sous leur protection. Il ne leur était pas interdit de se marier. Ainsi Eurydice, femme d'Orphée, était une Dryade.

Le myrte prodigieux déploie ses grands rameaux
Plus haut que le cyprès et le palmier
Et ses frondaisons couvrent tous les arbres
Et l'on dirait le château des forêts

Andersen: Le dernier rêve du vieux chêne.
Le conte de Grimm: conte des sept corbeaux.
Mme d'Aulnoye: l'oiseau bleu et phildid